Prêt à entrer dans l’arène avec les gladiateurs, Johnny revêtit un costume inédit, celui de Geronimo devenu immortel malgré la défaite de son peuple.
« Ce qui est beau, dit Johnny, c’est la lutte, le combat ! Si on peut vivre en paix ,soit, je m’incline mais si l’heure des oppresseurs a sonné, je serai là, guitare de rocker à la main pour être le meneur de la révolte populaire.
Je donnerai de ma personne sans compter et je finirai à genoux en murmurant des mots d’amour ».
Sylvie essuya une larme, Laura bondit de joie en retrouvant l’image de son père adoré, décidant de suivre la courbe de ses rêves en endossant des rôles à contre-emploi ( Garçonne ) .
L’âme de Geronimo flotta dans l’arène, apportant un regain d’énergie aux gladiateurs couturés de blessures.
« Quel est ce pays
Où frappe la nuit
La loi du plus fort ?
Diego, libre dans sa tête
Derrière sa fenêtre
S’endort peut-être
Et moi qui danse la vie
Qui chante et qui rit
Je pense à lui ».
Plus motivé que jamais face aux dures réalités du monde, Johnny interpréta un vibrant Diego, Libre dans Sa Tête.
Les gladiateurs cessèrent de s’affronter et les indiens décimés par les envahisseurs sans foi ni loi firent voler leurs plumes pour que la justice règne enfin.
Johnny troqua son costume d’indien contre celui de Davy Crockett cher à son enfance, montrant ainsi la ligne à suivre, celle de la réconciliation et de l’amour universel.
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