Tes
yeux de jade sont emprisonnés dans le cristal de mes nuits et le chant d’un
rossignol déchire le silence tandis que des lueurs bleutées et pourprées vagabondent
auprès des sources de la vie.
Je
vibre sous les murmures des saules et attends que reviennent les jours
enchantés pleins de soleils et de rêves mais les cascades me renvoient les
rides du temps.
Alors
je prends le chemin des pèlerinages et m’en vais sur les routes, au hasard, à
la recherche des phrases gelées, emprisonnées dans les noirs diamants que
roulent les torrents.
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