dimanche 7 novembre 2021

La Fureur de vivre

Salut, c’est Johnny ! Vous ne me connaissez pas puisque votre univers est celui du Rap.

Informez-vous, les Dalton car vos rodéos et vos frasques vous conduiront peut-être dans le pénitencier dont j’ai chanté la triste réalité.

«  Pour moi ma mère a donné sa robe de mariée »…Pensez à votre mère qui viendra vous voir au parloir après une fouille déshonorante.

Elle viendra parce qu’elle vous aime mais il serait bon de stopper ces folles aventures qui vous conduiront, au mieux, derrière des murs épais, infranchissables et humides.

J’ai connu ces frissons de l’aventure et de l’extrême, conduisant parfois avec l’imprudence de la jeunesse des bolides qui auraient pu me tuer.

J’ai été bercé par la Fureur de vivre, ce film magique où apparaissait un acteur légendaire, James Dean.

Une scène mythique, une course vertigineuse où la finalité consistait à côtoyer la mort en freinant au bord d’un précipice le plus tard possible, a plongé toute une génération dans la recherche frénétique d’un désespoir savamment construit.

Avec Eddie et plus tard, Jacques Dutronc, on a voulu rendre aux jeunes le goût de vivre sans ignorer les problèmes de notre époque.

Requiem pour un fou, en ce qui me concerne, en est le plus bel exemple, jumelé aux Portes du Pénitencier et Noir c’est noir.

J’ai chanté l’amour, Gabrielle, Laura, L’hymne à l’amour alors les Dalton, écoutez mes albums et rangez votre déguisement dans le coffre des trésors d’Halloween, retournez à l’école et pensez à l’avenir qui vous réserve forcément de belles surprises.

Adieu ! C’était Johnny !

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