Il nous est revenu le petit prince des collines de Candy, l’héroïne de notre jeunesse, sur un air de cornemuse, dans la lande fleurie d’ajoncs et de genêts.
« L’amour, l’amour, l’amour
Dont on parle toujours
L’amour c’est le printemps craintif
Une lumière attendrie ou souvent une ruine
L’amour, l’amour, c’est le poivre du temps
Une rafale de vent, une feuillée de lune ».
Les dryades rescapées de Brocéliande chantèrent en chœur une romance de Mouloudji, ce qui incita Vincent Niclo, notre prince des collines, à entonner ce chant d’amour, sous la lune s’effeuillant en roses d’or que les fervents supporters agrafaient à leur chemise ou à leur caraco.
Des tsiganes dansèrent, annonçant la venue définitive du Prince de l’Amour, Vincent Niclo, dans un éclat celtique de bagad triomphant.
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