« ….le maître est
parti mais les disciples sont restés » lit-on dans Salvator de Diomède
Mujojoma après une hallucinante évocation descriptive des habitants d’un même
pays, affublés de signes relevant de la légende.
Cela me rappelait historiquement
la description du Juif et de la dégénérescence morale supposée de cet habitant
français sous l’occupation.
Quel aveuglement
saisit ces théoriciens de l’ombre pour opposer des gens qui vivaient en bonne
intelligence avant que la haine ne souffle sur les pays comme un vent mauvais !
Salvator de Diomède
Mujojoma a plusieurs niveaux de lecture. On peut n’en retenir que l’histoire
romancée de Salvator et de Mireille ou le fil rouge du trop célèbre génocide ou
bien encore la croyance vive du narrateur à une philosophie de la vie faite de
principes moraux, poétiques, bucoliques et religieux.
C’est cette synthèse qui fait du livre une œuvre de
méditation à placer au chevet des adolescents qui rêvent un peu trop de luxe et
de facilité, certains néanmoins préférant suivre l’Étoile du Berger et de tous les lecteurs qui attendent
d’un livre qu’il leur révèle le miroir de leur âme !
bonjour, bienvenu sur mon blog, comme vous, je suis passionnée du Maroc... Essaouira la divine..
RépondreSupprimervenez participer à mes jeux d'écriture ou de créativité, bon week end Hélène http://cbug.cc/9a4zwx
Bien volontiers chère Hélène !
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