J’ai vécu dans des
riads magiques environnés d’oiseaux et parfumés de roses et de fleurs de
jasmin.
De jolies femmes en
caftans lavaient les sols, préparaient les repas et pétrissaient la pâte à pain
pour que les miches de la maison soient enfournées chez le propriétaire d’un
four, moyennant quelques pièces.
Un peu de repos en
milieu d’après-midi avec le thé embaumé de menthe et de verveine. Quelques
gâteaux parachevaient cette halte salvatrice puis les activités reprenaient,
dans la bonne humeur et l’attente d’un évènement heureux, fiançailles, mariages
ou préparatifs d’un trousseau, pièces brodées. J’étais la seule à ne rien
attendre puisque j’avais déjà tout eu.
Alors chacune
cherchait à me toucher en guise de porte-bonheur. Je ne me dérobais pas et
assurais ces femmes que je leur rendrais un jour un hommage chaleureux mille et
une fois mérité.
Soleil d’Or, je t’implore, illumine cette page et
donne lui tous les témoignages d’amour que j’ai reçus !
Nous sommes très heureux de faire votre connaissance, et serions ravi de bien lire votre libre bon courage et merci beaucoup de partage le groupe omajil www.omajil.net
RépondreSupprimerMerci pour vos encouragements ! Sur ce blog, à la rubrique Bibliographie, vous pouvez consulter l'aperçu donné par ma maison d'édition des onze livres que j'ai écrits. on peut en lire les dix huit premières pages. L'un de ces recueils de contes a été considéré par le comité de lecture de la maison d'édition Publibook comme des contes orientaux; il s'agit de Contes du Temps Présent.Dans l'ensemble de mes livres, l'empreinte orientale est très nette; à bientôt le plaisir de vous lire !
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