Au cœur d’un bijou de la Place Vendôme, Johnny resplendit de mille feux et sa grande voix de ténor se trouve sublimée par les diamants montés en broche pour que batte encore la guitare de nos rêves.
Catherine Lara, la rockeuse de diamants, son violon dansant à la main, insuffle son rythme personnel au Pénitencier, J’en parlerai au Diable, Noir c’est noir.
Son costume de scène noir s’harmonise parfaitement avec la tenue sombre «étincelant sous l’or et les strass de notre éternel rocker, fendant les nuages pour nous retrouver, son immense croix d’argent resplendissant sur son torse fauve.
Nous entrons dans la ronde à notre tour, à la manière médiévale lorsque les deux mondes, celui de l’esprit, vif et coloré et l’ici-bas plus sombre, chargé de l’obscurité d’un réel tangible et complexe cohabitent sans faille.
Oscillant entre les deux mondes, escorté par les anges, Johnny est toujours là, vivant au rythme de notre cœur qui crie son nom avec amour.
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