Le titre n’avait plus été décerné depuis des lustres, Charles d’Orléans en étant le premier avec ces vers merveilleux enseignés jadis à l’école :
« Le temps a laissé son manteau, de vent, de froidure et de pluie et s’est vêtu de broderie, de soleil luisant clair et beau ».
Les muses Erato, poésie lyrique et chorale, Euterpe, danse et poésie amoureuse, Calliope, éloquence et épopée, ont décidé, à l’unanimité, d’offrir la palme de Prince des Poètes à Vincent Niclo pour récompenser ses multiples talents touchant à toutes les facettes de la poésie.
Pour saluer cette récompense, le parolier de Vincent mit en œuvre son talent et celui de son équipe pour réaliser un florilège médiéval et Renaissance dont Charles d’Orléans, La Dame à la licorne et autres figures légendaires seraient l’épicentre.
Que renaissent la poésie, les roses et l’amour diraient en chœur des stars du ballet de Coppélia !
Le livret achevé, on soumit le spectacle féerique au public qui applaudit l’éclatante prestation du prince des poètes, Vincent Niclo.
Lorsqu’il apparut dans La valse de la poupée, Lily-Rose Deep tenant ce rôle magique, il était si beau et si authentique que la voix de Jacques Offenbach retentit derrière les nuages d’un décor inspiré par les dessins de Georges Méliès : « Enfin, je renais » !
Nous attendons l’éclosion de ce spectacle pour applaudir notre prince des poètes, Vincent Niclo !
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