Si par hasard
Si par hasard, tu t’ennuyais un peu, cher Johnny, chez le
diable ou ailleurs, dans les champs élyséens, entretenus par les nymphes et les
naïades, tu pourrais revenir parmi nous pour organiser un concert du feu de
Dieu.
Tous tes fans seraient là, fervents et aimants, plus que
jamais et les fleurs seraient distribuées avec faste pour embaumer la scène.
Entre chaque chanson, des admirateurs, venus d’Orient,
enverraient sur le plancher foulé par tes bottes, bagues en diamants, colliers
de rubis et autres pierres précieuses comme dans les concerts de la grande et
incomparable Oum Kalthoum à la voix d’or.
Pâmés et vainqueurs, les adeptes de tes chansons au goût d’éternité,
bondiraient sur place à chaque refrain.
Que la fête revienne avec son cortège d’amants éperdus et d’admirateurs
sans réserve !
Reviens nous, Johnny, si par hasard, tu t’ennuies !
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