lundi 11 juin 2012

Soleil d'Or

J’ai vécu dans des riads magiques environnés d’oiseaux et parfumés de roses et de fleurs de jasmin.
De jolies femmes en caftans lavaient les sols, préparaient les repas et pétrissaient la pâte à pain pour que les miches de la maison soient enfournées chez le propriétaire d’un four, moyennant quelques pièces.
Un peu de repos en milieu d’après-midi avec le thé embaumé de menthe et de verveine. Quelques gâteaux parachevaient cette halte salvatrice puis les activités reprenaient, dans la bonne humeur et l’attente d’un évènement heureux, fiançailles, mariages ou préparatifs d’un trousseau, pièces brodées. J’étais la seule à ne rien attendre puisque j’avais déjà tout eu.
Alors chacune cherchait à me toucher en guise de porte-bonheur. Je ne me dérobais pas et assurais ces femmes que je leur rendrais un jour un hommage chaleureux mille et une fois mérité.
Soleil d’Or, je t’implore, illumine cette page et donne lui tous les témoignages d’amour que j’ai reçus !

2 commentaires:

  1. Nous sommes très heureux de faire votre connaissance, et serions ravi de bien lire votre libre bon courage et merci beaucoup de partage le groupe omajil www.omajil.net

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  2. Merci pour vos encouragements ! Sur ce blog, à la rubrique Bibliographie, vous pouvez consulter l'aperçu donné par ma maison d'édition des onze livres que j'ai écrits. on peut en lire les dix huit premières pages. L'un de ces recueils de contes a été considéré par le comité de lecture de la maison d'édition Publibook comme des contes orientaux; il s'agit de Contes du Temps Présent.Dans l'ensemble de mes livres, l'empreinte orientale est très nette; à bientôt le plaisir de vous lire !

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