Tu ne ménageais pas ta peine et tu accompagnais chacun dans toutes ses démarches, même les plus insensées ou complexes, ignorant en grand Seigneur tes propres intérêts et négligeant ton ascension personnelle au risque d’y laisser un souffle de ta vie, déjà si riche en rebondissements et difficiles Everest.
Je t’imagine dans ce vert paradis où se trouvent les Justes, rajeuni, mobile et dynamique comme au plus beau temps de ton adolescence.
Tu cherches du regard ton Eurydice et tu ne la trouves pas, ce qui projette sur ton bonheur retrouvé une ombre violette.
Sache que ton Eurydice ne t’a pas oublié et qu’elle attend le moment propice pour te retrouver afin que, de nouveau, nous puissions marcher au pas d’amble de nos chevaux des amours éternelles.
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