Pétri d’un amour qui ne demandait qu’à éclore, Johnny rêvait de paradis et il allait, à l’aventure, chercher la clef du bonheur d’enfance perdue.
Posant un regard inquiet sur Sylvie, si féerique dans sa robe de mariée, il semblait se demander si cette irréelle beauté n’allait pas se fracasser sur le rocher de son identité.
Les jours se sont emballés, David est né et l’hallali des passions incandescentes, inadaptées à la vie de scène, a fait retentir un cruel clap de fin.
Qu’il est difficile d’aimer et d’être aimé quand on se nomme Johnny Hallyday et qu’on ne s’appartient plus puisqu’on est adulé par un public fervent, attaché à sa personne de manière christique par des liens et des cœurs d’amour !

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