Un vent de roses m’a emportée auprès de toi, mon prince d’amour, Fouad aux mains d’argent.
Tu es assis sur une balancelle près d’une fontaine de sable qui apporte la chaleur de la terre à un décor d’oasis avec sa palmeraie, ses orangers et son berceau de jasmin.
Je m’agenouille près de toi et j’embrasse délicatement ta belle main porteuse de calames.
Des paons, des pintades s’ébattent près de nous et des oiseaux chantent l’éternelle romance de l’amour.
Cette vision paradisiaque est menacée par les amateurs de luttes alors je prie pour qu’elle perdure et se prolonge à l’infini.

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