Dans les allées de bigaradiers, je t’ai
cherché mais ne t’ai pas trouvé ! J’aurais juste voulu effleurer ta
chemise là où bat ton cœur mais les fées n’en pas voulu ainsi : elles m’ont
emportée dans un pays lointain, inconnu et depuis je te cherche des yeux sans
jamais te trouver.
Mon prince des îles lointaines, mon
amour éternel, toi qui as disparu un jour à la manière d’une étoile filante, je
garde de ton passage le souvenir d’un poète à jamais voué à la passion, s’inscrivant
dans la terre bénie que les Templiers ont contemplée.
Je me veux la gardienne de ton cœur qui palpite
au vent léger, porteur de tant de messages qu’il me faudra une éternité pour
les décrypter.
Il me semble d’ailleurs
que l’immortalité réside dans la force de ces chants d’amour qui meurent sur la
grève pour renaître encore et encore jusqu’à ce qu’un adepte de la poésie
reprenne le flambeau.
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