« Si, par hasard
Sur l’pont des Arts
Tu croises le vent, le vent fripon, prudence prends garde à ton jupon
Si, par hasard
Sur l’pont des Arts
Tu croises le vent, le vent maraud, prudence prends garde à ton chapeau ».
Le vent entendit les paroles de la chanson de Georges Brassens et diffusa ses couplets auprès de Vincent Niclo qui l’interpréta d’une manière si mélodieuse que des portées musicales l’environnèrent, le propulsant dans le monde des poètes.
Des jeunes filles en robe d’organdi valsèrent, faisant voler leur jupons à la manière d’une rose savamment effeuillée.
Vincent et son chœur de ballerines rendirent un vibrant hommage au vent qui leur envoya, en guise de remerciement, une guirlande de feuilles couleur feu.

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