jeudi 15 février 2024

 


 


Dans une noria fleurie, des orchidées aux fleurs de cerisiers et d’amandiers, Vincent Niclo apparaît tel un dieu bucolique avec le talent d’Orphée.

Comme le poète, il pourrait faire éclater des rochers, les libérant de leurs forces vives pour que naissent des notes inédites propres à charmer les fauves et à rendre à un public fervent l’âme de la beauté ineffable qui unit toutes les générations.

De la vieille dame aux cheveux blancs retrouvant, la larme à l’œil, le Prince de Madrid de son enfance aux jeunes femmes adeptes de rythmes irlandais, Vincent Niclo capte le miroir légendaire qui renvoie l’amour captif sous les flèches de Cupidon.

Prince de la chanson que l’on n’ose nommer populaire tant elle unit les cœurs battant de la même manière sous la chemise à jabots de l’élégant mondain  voire politique ou la cotte de l’ouvrier, prince des amours, Vincent Niclo habite le palais immatériel construit avec du marbre et des fleurs grimpant sous la voûte céleste et nous éblouit à chaque instant de son charme inédit.

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