The wind in the willows
Dans les romans anglais, la nature et sa faune se complètent harmonieusement, nous incitant à partir à notre tour, sur le mode gitan.
En roulotte, nous regardons défiler les paysages et lorsqu’une fleur nous intrigue, nous nous arrêtons pour l’admirer sans la cueillir car elle en mourrait.
Nous nous asseyons dans l’herbe et nous rêvons puis nous dessinons et nous écrivons pour immortaliser ce merveilleux don de beauté.
Comme Colette, l’admiratrice de la nature, nous aimons surtout les violettes car elles nous aident à supporter les frimas et les morosités des hivers rugueux.
« Un parfum de violette a envahi mon âme, se lovant dans les lobes de mon cœur déchiré ».
Ces mots ailés m’aident à poursuivre ma route et j’attends fébrilement la venue de mon amant, mon tendre époux hélas disparu !
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