dimanche 17 juin 2018

Laura


Laura
Belle, sculpturale, avec le sourire énigmatique et profond de son père, Laura est là pour nous rappeler que si des hommes de loi ont sciemment ou non, oublié son nom et celui de son frère, tant aimé, auteur de l’éclatant album Sang pour sang, elle est là et bien là, vivant portrait de celui qui la désira tant qu’il la chanta, avec amour, avec passion, d’une voix qu’on ne lui connaissait pas.
Laura, tu es la preuve que, sur terre, les dieux ne meurent pas.
Ta beauté troublante nous émeut, nous ses fans, et rien ne pourra ternir ton image, même si des avocats retors s’y emploient avec l’art de la perfidie poussée au plus haut point.
Laura, tu es à la fois l’enfant de notre idole et la femme qu’il aurait pu incarner si le destin lui avait offert cette opportunité.
En un mot, tu es l’amour qu’il nous a donné sans compter, jusqu’à son dernier souffle.
« C’est ici que finit le combat du jour et de la nuit » : On prête ces mots à Victor Hugo dont l’amour populaire fut l’égal de celui que l’on te manifesta à La Madeleine, avec la même ferveur et la même passion.
Le grand poète nous a laissé son œuvre gigantesque mais sa fille adorée fut emportée par le courant de la Seine, à l’âge de dix-neuf ans et de ce drame, Victor Hugo ne se remit jamais.
Toi, Laura, tu es bien vivante, vibrante et ta seule présence est un acte d’amour renouvelé comme les vagues de l’océan qui viennent mourir à Saint Barthélémy pour honorer le tombeau de ton père, magnifiquement fleuri et honoré !
Alors, je t’en supplie, sois vivante en chacun de nous et fais éclater le talent qui dort en toi et qui doit se réveiller, comme La Belle au Bois Dormant pour nous redonner l’amour de Jo

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