Fidèle à la tradition qui fit de grands chanteurs des adeptes de l’opérette, prisée par un public populaire, Vincent Niclo emprunte la route fleurie qui nous emmène vers le bonheur.
Il chante et sa belle voix inaltérable, fraîche et spontanée comme celle des oiseaux pulvérise les nuages qui assombrissent notre vie.
Accompagné parfois par de belles cantatrices comme Hélène Ségara ou Nolwenn Leroy, il entonne les airs magiques de l’Opéra Celte.
On croit entendre les bombardes et les cornemuses activées par des Bretons costumés, sortant de la forêt millénaire de Brocéliande.
Des bardes entourant l’ Arbre d’Or près du Miroir aux Fées jouent de la harpe celtique, ce qui fait sortir les fées Viviane et Morgane de leur domaine, Viviane, l’étang de Comper où elle éleva le jeune Lancelot, Morgane, le Val-sans-Retour où elle détient des hommes qui ont osé repousser ses avances.
Morgane tente de jeter son dévolu sur Vincent tant il lui semble beau parmi les fleurs mais nous, ses fans, nous veillons et nous traçons un cercle sacré imaginaire autour de sa personne pour le protéger.
Dans une dernière envolée de notes lyriques, Vincent Niclo nous emporte dans son royaume enchanté, celui de l’amour fou d’un paradis perdu que nous rendons possible et salvateur.
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