Tel Ben Hur conduisant son quadrige dans le Grand Cirque, Vincent Niclo apparaît domptant des chevaux et lorsqu’il quitte son attelage mythique, il enlace sa captive d’amour pour danser avec elle une valse sans fin.
Des elfes et des korrigans venus de Brocéliande pour célébrer leur barde sacré, interprétant Opéra Celtique avec la magie de Merlin, l’entourent et entament une ronde féérique qui apporte l’aura des romans de la Table Ronde empreints de la marque divine du Roi Arthur.
Une couronne de gui et de houx où s’entrelacent des fleurs de bruyère tombe d’un chêne sacré, coiffant les beaux cheveux bruns de Vincent Niclo, notre prince d’amour.
Laissons-le valser dans la clairière des serments avec sa princesse digne de Guenièvre ou d’Yseult la blonde.
Ils quitteront sans doute la forêt millénaire pour embarquer à bord d’une nef qui les conduira au nirvana céleste du chant où Vincent trouvera l’inspiration pour que revive le mythe du prince éternel de la passion.
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