Tel un compétiteur entrant dans l’arène pour être livré aux fauves, charmant ces bêtes par la générosité de son cœur, Vincent Niclo chante et le miracle se produit.
Dragons, tigres et lions se couchent à ses pieds et au cours de la chanson, les paysages mêmes se muent pour devenir autant de paradis.
Les buffles impriment la cadence, les princesses des oasis mettent leurs plus beaux atours pour séduire leur prince.
Des danseuses font onduler leurs hanches au son de la mélodie et de fiers guerriers irlandais esquissent des pas rythmés sur l’asphalte des villes surgies du désert comme autant de mirages.
Nous entrons dans le rêve. L’Opéra Celte touche à sa fin, Vincent Niclo, notre héros, rentre chez lui et nous nous endormons, des étoiles dans les yeux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire