mardi 21 avril 2020

Le retour romanesque des chevaliers


Le retour romanesque des chevaliers
Ils sont revenus de Constantinople, de Malte, de Jérusalem ou d’Antioche, les chevaliers et ils ont construit des chapelles, des monastères et des forteresses sur le chemin du retour.
Ils ont parfois été torturés puis brûlés vifs sous l’effet de la convoitise, tels les Templiers dont on cherche toujours le trésor.
Ils étaient grands, robustes et convaincus que Dieu était à leurs côtés.
La mort ne leur faisait pas peur et l’immense croix qu’ils arboraient sur leur poitrine rutilait au soleil.
Moines combattants, ils étaient animés par une immense ferveur. L’audace les caractérisait même si parfois ils s’inclinaient, face à une jeune vierge, couronnée d’églantines, d’aubépines ou de fleurs d’oranger.
L’un d’entre eux a traversé les âges et s’est joint à une troupe qui fait merveille au Puy du Fou.
Le chevalier Aubin de Hautes Landes a mis le genou à terre face à la belle Flore du Hainaut et tous deux ont convolé dans un roman de chevalerie pour faire revivre la geste des preux chevaliers.
Que renaisse le temps des cathédrales et des amours éternelles, fleuries de myosotis !

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