Aujourd’hui, ce n’est plus dans les arènes romaines que l’on meurt supplicié mais dans la rue, au sortir d’un cinéma ou d’un collège, n’importe où, comme si des assassins potentiels rôdaient à l’affût d’une proie.
Louise, au profil délicat et innocent, a subi des dommages si terribles que les autorités ont hésité à les décrire.
Sauvagement poignardée, elle a été abandonnée comme une poupée violentée devenue un objet de rebut par un criminel qui court toujours.
Toutes les fleurs du monde ne te ramèneront pas à la vie, Louise et il ne nous reste que les larmes pour te pleurer.
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