En se mirant dans l’eau claire d’un lac pour y trouver son âme-sœur, Vincent Niclo vit surgir de l’onde des fleurs gigantesques au parfum d’orient.
Les fleurs se transformèrent en belles du matin, cheveux au vent, étoilés de notes musicales enchanteresses.
C’est ainsi que naquit son nouvel opéra, hymne à l’amour et à la beauté.
Ces fées du bonheur exécutèrent un pas de danse en s’accompagnant d’un ruban bleu aux initiales de leur prince, Vincent Niclo à la voix d’or.
« Chante pour les orphelins de la terre, les esseulés, les oubliés, Vincent aux mille merveilles ».
Ce refrain aux lèvres, Vincent Niclo revint chez lui et avertit son parolier qu’un ruban musical, féerique, s’était déroulé pour lui sur les bords d’un étang chimérique niché au fond de son cœur.
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