Prince blond du lac des cygnes, Johnny apparut sur scène comme l’incarnation du renouveau dans le domaine artistique.
Greg Zlap, à l’harmonica, entama un solo magistral. Un choeur de rockeuses bottées de noir, égrenant les notes sacrées du Pénitencier et un batteur magique préludèrent à l’entrée du prince de nos cœurs, Johnny à la guitare turquoise assortie à ses yeux.
Johnny, le seul à pouvoir dissiper les ténèbres du Mal de notre siècle, la désillusion, chanta solennellement pour que l’aurore renaisse .
Les cygnes noirs et leur prince maléfique battirent en retraite.
Il ne resta sur scène que l’évanescente beauté des cygnes blancs entourant leur princesse à qui Johnny lança les fleurs de Retiens la nuit, Gabrielle et Que je t’aime.
Prince de la lumière, Johnny à l’incontestable beauté grecque d’un Apollon nordique, régna sur nos cœurs et y règne encore avec la force de l’amour.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire