L’ombre d’Ernest Hemingway plane dans Paris à la recherche de ces bars qui l’avaient enchanté.
Il aimait déguster des huitres servies à table et boire un vin blanc sec issu d’un cépage local.
Un cinéaste new-yorkais a imaginé qu’une voiture de la Belle Époque emmenait à minuit les amoureux de ce temps de fête.
Dans les bars issus de son imaginaire, les passagers ravis rencontraient les artistes, figures de 1900, chanteurs, peintres, écrivains, amoureux d’un Paris qui semble disparu.
Seul, Vincent Niclo peut le faire renaître, ce Paris de fête, ce Paris glorieux, fier de tout son passé.
Comme s’il sortait de la voiture du cinéaste d’Outre -Atlantique, il entre dans un bar et, à la demande pressante d’un public d’habitués, il se met à chanter.
La Romance de Paris et autres compositions magnifiant la beauté de la capitale, accueillant et réunissant des hommes, des enfants, des femmes sublimées pour offrir à Paris, l’idéale marque de son charme, s’épanouissent comme autant de fleurs, Vincent Niclo servant de garant à l’authenticité de la ville symbolisée par la nef d’Isis.
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