C’est au son d’un piano de rue égrenant les mélodies chantées par Mouloudji, Comme un ptit coquelicot, Rue de Lappe, La chanson de la Butte que Vincent Niclo s’est embarqué parmi les fleurs pour rejoindre le royaume de la chanson éternelle.
Cette chanson court le long des rivières argentées ruisselant sur l’or celtique millénaire.
En mettant pied à terre sur la berge fleurie, Vincent a joint les mains pour offrir son amour à tous les fans qui l’attendaient, un œillet rouge à l’oreille destiné à fêter le descendant des chanteurs romantiques incarnant la passion vivace d’un pays amoureux de ses traditions.
Vincent s’est assis sur la souche d’un chêne et il a offert au public l’une de ses plus belles chansons, accompagné par une virtuose au piano de rue à l’origine de son déplacement.
Vincent Niclo, toi, le chantre de la poésie chantée, tu resteras à jamais dans notre cœur enrubanné de fleurs des champs !
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