samedi 6 août 2011

L'étoile des chevaliers (suite et fin)

J’ai écrit le dernier mot de ce roman avec un peu de vague à l’âme et l’ouverture nécessaire pour lui donner une suite si Dieu le veut.
Pour la première fois, j’ai cédé aux aspirations de notre époque assoiffée de sang et de monstres. Le monde n’est pas crédible, paraît-il, s’il apparaît sous un jour riant, avec des roses et des paysages dignes de l’Astrée.
J’aurais voulu imposer ce monde mais il semblerait que ma plume n’ait pas été efficace. Alors j’ai créé des monstres, des bêtes féroces et pire encore, comme un personnage nommé Gueule d’Ange, un homme beau et souriant, doublé d’un tortionnaire et d’un violeur. Les dames ne sont pas oubliées dans le registre de la vilénie et de l’horreur.
Et bien évidemment, ils sont présents, les beaux chevaliers et les gentes dames dignes de l’amour courtois pour équilibrer ce monde à l’image du vrai, oscillant entre la guerre et l’amour.
J’attends l’avis des lecteurs. J’ai oublié un détail qui a son importance : j’ai mis le point final sur mes cahiers d’écolière mais il reste une phase délicate : l’enregistrement du roman sur Windows, les multiples corrections et la soumission au comité de lecture des éditions Publibook.
Va, beau chevalier Flandrin cher à mon cœur, tu seras peut-être plus qu’un être d’encre et de papier, un véritable héros dans le cœur de ceux qui aiment le rêve.

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