Tel Duncan Macleod dont le sabre serait pétri d’amour pour insuffler à ses fans le désir de vivre, Johnny empoignait le micro, exécutant une danse folle pour finalement toucher le chêne de la scène de son front.
Sous les vivats de la foule, protégé par une courte nuit pour lui rendre le souffle à l’abri d’un rideau, Johnny renaissait, Highlander de charme, murmurant des mots passionnés :
« On a tous quelque chose en nous de Tennessee
Cette force qui nous pousse vers l’infini
Y a peu d’amour avec tellement d’envie
Si peu d’amour avec tellement de bruit
Quelque chose en nous de Tennessee ».
Quelque chose de Tennessee vivait en Johnny, lui donnant la force de se surpasser et d’aller plus loin que la nuit pour s’emparer de nouvelles étoiles, plus belles et plus enchanteresses que celles des conquérants du Nouveau Monde.
Highlander d’amour, Johnny vit en nous, enracinant la fièvre du rêve dans notre cœur meurtri.
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