« Oui, oui, oui, oui, oui, oui, oui
Nous ferons le tour du monde
Avec mon trois-mâts joli
Oui, oui, oui, oui, oui, oui
Nous n’aurons plus pour amis
Que la brise vagabonde
Et le soleil de midi
Oui, oui, oui, oui, oui, oui
Va, mon bateau, va
Pour elle et moi vogue là-bas ».
Au rythme de la chanson d’amour qui représenta la France jadis au concours de l’eurovision, Vincent Niclo voguait dans la coquille de Vénus peinte par Sandro Botticelli.
Croisant sur sa route marine dauphins, sirènes et génies des eaux, Vincent sélectionna les plus belles voix féminines pour l’accompagner.
Bientôt rejoint en barque par Chimène Badi, Hélène Ségara et Louane, il forma un groupe où la mélodie de la mer devenait amour.
Des bateaux en bouteille accompagnés de la chanson florale furent confiés aux flots qui les déposèrent sur toutes les plages du monde, portant la parole d’amour fou à l’univers en folie.
« Mon bateau est tout petit
Il dort dans une bouteille
Et moi je rêve avec lui
Oui, oui, oui, oui, oui, oui
Quand vient la nuit nous partons
Découvrir mille merveilles
Dont je ne sais pas le nom
Non, non, non, non, non, non
Va, mon bateau, va
Danse ton mât, berce mon rêve ».
Sur ces mots, Vincent s’éveilla et il trouva sur sa courtepointe un bateau bleu en bouteille en rappel de son rêve.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire