Trois lys d’argent se sont échappés d’un blason pour rappeler à Johnny ses devoirs face à ses fans au bord du désespoir.
« Ne craignez rien , mes amis, je suis toujours là et je viendrai vous soutenir pour affronter la dureté du monde en proie à une folie destructrice ».
Les lys se sont multipliés sur les bords de la rivière sans retour.
Vêtu d’un noir de jais, Johnny a entonné un couplet de Noir c’est noir :
« Noir c’est noir
Il me reste l’espoir
Noir c’est noir
Il me reste l’espoir
Noir c’est noir
Il me reste l’espoir ».
Les lys d’argent reprirent les paroles simples et nettes de la chanson pour que l’espoir surgisse de la nuit profonde enveloppant le monde d’un voile ténébreux.
La fée du lys d’argent rendit à Johnny jeunesse et beauté pour inonder la terre d’un soleil éternel.
Face à ce prodige, les fans envoyèrent des cœurs d’amour à leur idole.
Un jet de fleurs cristallisées magnifia l’échange au son de l’ Ave Maria célébré par le ténor Luciano Pavarotti :
« Ave Maria ! Vierge pure !
Les démons de la terre et de l’air
Sont chassés de la grâce de tes yeux
Ils ne peuvent ici habiter avec nous ».
Les trois lys d’argent firent appel à un carrosse d’or et à des licornes ; c’est dans ce bel attelage féerique que Johnny reprit le chemin des cieux tandis que les trois lys rejoignaient le blason du Grand Maître de l’Ordre des Saints Hospitaliers de Jérusalem encore célébré dans l’île de Malte !
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