Une balalaïka est tombée du ciel, atterrissant dans le carré de dahlias chéris par Vincent Niclo et le charme a immédiatement opéré :
« Plaine, ma plaine
Plaine, ô mon immense plaine
Où traîne encore le cri des loups
Sur la grande steppe de chez nous ».
Les chœurs de l’ Armée Rouge accompagnent Vincent tandis que son chant s’élève vers les cieux pour implorer la paix.
« Plaine, ma plaine
Entends-tu ces voix lointaines
Les cavaliers qui vers leurs champs reviennent
Sous le ciel chevauchant et dansant ».
Les cosaques du Don Paisible sont arrivés au galop. Ils jettent des fleurs en poussant des Hurrah.
Des jeunes filles costumées comme Maroussia dansent en chantant.
Au milieu de cette ronde aux couleurs vives, Vincent laisse cascader les notes de sa voix qui s’égrènent à la manière de perles irisées, symboles de bonheur, de paix et d’amour.
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