En costume balnéaire caché par une cape de pèlerin, Vincent Niclo marche sur un rivage fouetté par le vent.
Il est méditatif car un rêve l’a informé d’une présence féerique parmi les coquillages laissés par les vagues océanes qui murmurent ses chansons.
Vincent ôte sa cape et apparaît dans toute sa splendeur.
Son chant fait venir les sirènes qui forment un chœur inédit.
Des Prêtres aux Chœurs de l’ Armée Rouge, il a toujours aimé mêler sa voix à celles des chanteurs qui incarnent l’âme fervente d’un idéal profond.
Les sirènes sont le symbole des mers lointaines. Elles attirent par leur chant les marins qui succombent à leur charme.
Il n’en est rien pour Vincent Niclo car son chant mélodieux surpasse en beauté celui des séductrices venues du fond des mers.
Et c’est en développant le diapason d’une note finale que Vincent trouve enfin l’objet de sa recherche, un merveilleux coquillage sculpté avec amour.
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