C’est en chantant la mélodie-phare du compositeur Franz Lehár « Je t’ai donné mon cœur » in Le pays du sourire que Vincent Niclo fut propulsé dans un cadre légendaire et enchanteur.
Une fontaine qui diffusait ses airs majeurs en imprimant leur rythme à des eaux colorées se métamorphosa en une belle orientale qui lui ouvrit les bras.
Prête à recevoir ce cœur ardent, elle ondula des hanches, devenant une rivière qui coulait dans un paysage féerique respectant le code du yin et du yang.
Une jeune femme couronnée de lotus roses répondit aux accents passionnés du chanteur en interprétant un air célèbre de La Traviata de Giuseppe Verdi.
Ému aux larmes par ces accents passionnés, Vincent Niclo faillit perdre la voix mais le murmure de la fontaine d’amour parmi les fleurs le ramena à sa destinée, enchanter, plaire et ensorceler en interprétant les volutes secrètes des grandes âmes ardentes.
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