« Heureux qui comme Ulysse
A fait un beau voyage
Heureux qui comme Ulysse
A vu cent paysages
Et puis a retrouvé
Le pays des vertes allées ».
En compagnie de l’avatar de Du Bellay, le chantre de la Renaissance et de Georges Brassens qui modifia le poème en l’adaptant à un scénario original, Vincent proposa une troisième version du bonheur de vivre chez soi en interprétant Il Mio Rifugio de Richard Cocciante.
Des roses jaillirent de son jardin et sa demeure paisible devint le refuge de la Liberté.
Vincent voulut offrir ce bouquet lumineux à son public et il s’arracha à son domaine pour porter la bonne parole, les oiseaux battant des ailes afin de sublimer les accords de la mélodie du cœur :
« Quand la neige blanchit par son silence
Tout ce vacarme au centre de la ville
Et gela nos paroles
Moi je t’aime ».
Bras ouverts sur la scène mythique du théâtre de Rennes, Vincent dédicaça à son public empli d’amour la parole du baladin de la Liberté incarnée en sa personne et sublimée par les roses impériales ancrées dans son cœur.
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