« J’aurais traversé des déserts
Franchi le mur de l’océan
Dis-moi ce que j’aurais pu faire
Aller jusqu’au bout de la terre ».
Les oiseaux du Paradis ont véhiculé Les larmes de gloire de Johnny, semant au passage des graines d’amour pour que perdure la mémoire du rocker au cœur immense.
Les mers chaudes s’inscrivent dans son sillage et les coquillages de la grève se développent pour devenir des choristes qui s’ouvrent en une folle sarabande.
Le Finistère, aux confins de la terre de par son nom La fin de la terre, reçoit les messages des fous de Bassan qui enchantent les promeneurs.
Requiem pour un fou retentit dans cet endroit idéal pour célébrer l’amour fou et Johnny, guitare à la main, marche au bord de l’océan pour que les souffrances des amants éperdus cessent.
« Je vous préviens, n’approchez pas
Que vous soyez flic ou badaud
Je tue celui qui fait un pas
Non je ne ferai pas de cadeau ».
C’est à cet instant qu’une fée sortit de l’onde et tomba dans les bras de Johnny pour apaiser son cœur brisé.
Les oiseaux du Paradis firent entendre la chanson de leurs ailes d’or et Johnny rejoignit enfin les cieux.
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