Dans une Folie chère au dix-huitième siècle, Vincent s’installa pour respirer le parfum des roses.
S’enivrant de cette fragrance, le ténor sentit fleurir sur ses lèvres une ode à l’amour :
« Tu verras mon enfant
Les épines qui abîment
Mais dis-toi souvent que la vie est plutôt
Jolie, jolie, jolie
Jolie comme un bouquet de roses qui dépose à tes pieds
L’amour, la douceur aux couleurs de l’été
Comme un bouquet de roses qui dépose
Dans ton cœur, des tristesses et des peurs ».
La fée Rosemonde apparut dans une robe violine et elle prit le bras de Vincent pour réclamer une danse.
Un slow langoureux unit le couple jusqu’à ce qu’un cortège de roses sublimées exécute un pas de danse au rythme de La Tribu de Dana :
« Dans la vallée ( oh, oh ) de Dana ( lali lala)
Dans la vallée ( oh, oh) j’ai pu entendre les échos ».
Familier de l’âme celtique, Vincent se laissa entraîner par les roses légendaires des terres de Brocéliande et il décida de vivre au cœur de la Folie, protectrice de sa personne quasi royale, symbole de l’amour.
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