Amour de ma vie, ya habibi, un voile d’or couvre mon corps et j’attends, frémissante, la caresse de ta voix pour tomber à tes genoux.
Nouvelle Antinéa, je me laisse envelopper par un vent de sable qui me pétrifie, me transforme en rose sculptée par le désir d’aimer.
Protégée par cette cuirasse florale, j’attends ta venue pour m’en défaire et devenir la poupée d’amour de ta fantaisie.
Je m’en remets à toi, ya habibi, car je t’aime profondément et je désire concourir à qui perd meurt dans tes mains puissantes et généreuses, mon amour aux senteurs de jasmin.
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