Il nous est revenu avec le Printemps, notre Johnny des amours, notre Johnny de toujours et sa guitare à la main , il a chanté Quelque chose de Tennessee :
« On a tous quelque chose en nous de Tennessee
Cette volonté de protéger la nuit
Ce désir fou de vivre une autre vie
Ce rêve en nous avec ses mots à lui ».
Un gigantesque papillon a couronné Johnny de roses couleur de feu et des feux de Bengale ont allumé la nuit.
« La nuit, le jour et puis toi, mon amour » : la voix chaude de Mouloudji vint en écho à la mélodie d’inspiration texane prônée par Johnny, loin du Moulin Rouge, de la butte Montmartre et de tous les bijoux vocaux de La Vie Parisienne.
Offenbach promulgua à nouveau La Belle Hélène pour ramener notre rocker d’amour dans la péniche de nos cœurs liés pour son retour triomphal.
Le miracle se produisit : aux accents de La Gaité Parisienne, Johnny fit une entrée royale au bras de sa reine, la divine Sylvie, l’éternel amour de sa jeunesse et de la nôtre !
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